Figuration "Angélique, Marquise des Anges"
Après la série avec Michèle Mercier, le réalisateur Ariel Zeitoun s'est à son tour attaqué au célèbre roman d'Anne et Serge Golon., avec Nora Arnezeder dans le rôle titre et Tomer Sisley incarnant le Marquis de Plessis-Bellière. Le tournage a eu lieu au château de Beloeil où nous jouions des nobles de la maison Plessis-Bellière.
(Bienvenue chez le Marquis de Plessis-Bellière)
Une telle figuration est une expérience passionnante et épuisante car il faut compter des heures d'essayages en amont, puis des heures de préparation quotidienne pour passer à l'habillage, au maquillage et à la coiffure. De plus, ces robes corsetées sont affreusement inconfortables et peu pratiques ^^ Néanmoins, elles facilitent la "plongée" dans ces personnages d'une autre époque aux manières bien différentes des nôtres. Et c'est un tel plaisir que de tourner dans un décor aussi splendide!
(Le plateau)
Ariel Zeitoun a son caractère sur le plateau, mais je me suis bien vite rendue compte qu'il nous laisse une grande liberté pour incarner nos personnages si on respecte nos marques et qu'il veut vraiment que nous vivions quelque chose. Tout le défi était donc de parvenir à faire vivre son personnage en tenant compte des contraintes de mouvement et des manières de l'époque. C'était extrêmement intéressant et je serais enchantée de refaire bientôt un film en costumes!
("Ca tourne!")
(Bienvenue chez le Marquis de Plessis-Bellière)
Une telle figuration est une expérience passionnante et épuisante car il faut compter des heures d'essayages en amont, puis des heures de préparation quotidienne pour passer à l'habillage, au maquillage et à la coiffure. De plus, ces robes corsetées sont affreusement inconfortables et peu pratiques ^^ Néanmoins, elles facilitent la "plongée" dans ces personnages d'une autre époque aux manières bien différentes des nôtres. Et c'est un tel plaisir que de tourner dans un décor aussi splendide!
(Le plateau)
Ariel Zeitoun a son caractère sur le plateau, mais je me suis bien vite rendue compte qu'il nous laisse une grande liberté pour incarner nos personnages si on respecte nos marques et qu'il veut vraiment que nous vivions quelque chose. Tout le défi était donc de parvenir à faire vivre son personnage en tenant compte des contraintes de mouvement et des manières de l'époque. C'était extrêmement intéressant et je serais enchantée de refaire bientôt un film en costumes!
("Ca tourne!")
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